« J’aime ma cicatrice, elle résume toute ma vie »

Report this content

Souffrant de scoliose, Zoe Sophia a dû subir une intervention chirurgicale très jeune. Aujourd’hui, l’immense cicatrice qui court le long de sa colonne vertébrale est un rappel constant de la douleur qu’elle a dû traverser.

À l’âge de 7 ans, une scoliose a été diagnostiquée chez Zoe Sophia, danseuse depuis son plus jeune âge.

« Ma colonne vertébrale était tordue et formait un s. Les médecins m’ont dit qu'en grandissant, cette déformation pouvait s’aggraver ou disparaître. Cette déviation s’est vraiment aggravée et ma condition s’est détériorée. Je parle d’années de physiothérapie, de corsets et d’exercices de respiration. La douleur m’a finalement obligé à arrêter de danser », explique Zoe Sophia, 24 ans, originaire de New York, aux États-Unis.

Zoe voulait éviter la chirurgie à tout prix, mais, à 14 ans, l’arthrodèse vertébrale s’est avérée être sa seule option. Au cours de l’opération, les médecins ont placé des vis et des tiges dans son dos. L’opération s’est bien passée, mais la correction n’a pas été suffisante. La scoliose de Zoe est revenue et la situation a empiré.

« Mon dos était tellement irrégulier. J’étais toujours courbée, de plus en plus. C’était extrêmement douloureux. Aucun vêtement ne m’allait. Je portais de grand pulls, des chaussettes hautes et mes cheveux longs couvraient mon dos. Les gens pensaient que j’affirmais mon style, mais, en réalité, je cachais ma scoliose. »

Zoe savait qu’une intervention chirurgicale corrective finirait par être nécessaire. Quand elle a eu 19 ans, le moment est arrivé et elle était vraiment enthousiaste. Une chirurgie de 12 heures, pourtant risquée cette fois, que Zoe qualifie aujourd’hui de celle qui est à l’origine de l’immense cicatrice.

« Ils ont ouvert mon ancienne cicatrice, retiré le matériel et séparé ce qui avait été fusionné. Ils ont tenté de tout redresser avant de procéder à une nouvelle fusion et de remplacer l’ancien matériel. »

Après l’opération, le chemin vers la guérison a été long et douloureux, mais Zoe était heureuse, parce qu’elle savait que la douleur menait à quelque chose d’incroyable qui changerait sa vie.

« J’ai été désaxée toute ma vie. Vivre avec ce genre de douleur n’est pas une partie de plaisir. Mais, cette fois-ci, la douleur était positive, elle allait me permettre de guérir et de mieux vivre »

La cicatrice de Zoe l’a rendue plus forte. Elle ne la voit pas souvent, mais, chaque fois qu’elle l’aperçoit dans le miroir, elle lui rappelle à quel point elle est forte et ce qu’elle a réussi à traverser.

« C’est la partie de mon dos que je préfère et elle est tellement plus jolie aujourd’hui. Je souffrirai toujours d’une scoliose et de la douleur qui l’accompagne, mais ma vie s’est améliorée. »

Aujourd’hui, Zoe veut aider les gens à aimer leurs défauts et leurs insécurités.

« Lorsque les gens voient des cicatrices, ils ne voient pas le combat et toutes les douleurs qu’elles impliquent. J’aime ma cicatrice, elle résume toute ma vie »

Zoe participe actuellement à la dernière campagne de marque de Getinge et montre sa magnifique cicatrice au monde entier. Découvrez-la >>

Pour plus d’informations, veuillez contacter:
Caroline Vayssettes
Marketing & Communication
caroline.vayssettes@getinge.com
+33646821866

 

Présentation de Getinge
Convaincue que tout le monde devrait pouvoir bénéficier des meilleurs soins possible, Getinge propose aux établissements de santé et de sciences de la vie, des solutions visant à améliorer les résultats cliniques et à optimiser les flux de travail. La gamme de produits est destinée aux soins intensifs, aux procédures cardiovasculaires, aux blocs opératoires ainsi qu'aux services de retraitement stérile et des sciences de la vie. Avec plus de 10 000 employés dans le monde, les solutions Getinge sont commercialisées dans plus de 135 pays.

S’abonner

Multimédia

Multimédia