Citations

On observe un phénomène récurrent dans les pays déjà en proie aux effets des conflits et de l’insécurité alimentaire comme le Nigéria, le Pakistan et le Sud-Soudan. Aux conséquences désastreuses des inondations viennent souvent s’ajouter la faim, la pauvreté et la violence, ce qui rend les populations encore plus vulnérables et crée un ensemble de facteurs de risque « propices » à leur déplacement.
Clare Spurrell, porte-parole de l'IDMC
Aux Etats-Unis, la plupart des personnes déplacées suite à l’ouragan Sandy ont se sont réfugiés dans des abris temporaires adéquats en attendant d’être relogées. « C’est sans commune mesure avec la situation en Haïti, où des centaines de milliers de personnes vivent encore dans des tentes de fortune plus de trois ans après le séisme qui a ravagé le pays, en 2010.
Clare Spurrell, porte-parole de l'IDMC
« Nous sommes à un moment critique. Il y a un vrai risque que la situation du pays continue à se détériorer et qu’il connaisse des troubles permanents si la communauté internationale détourne son attention du Mali à ce moment décisif »
Elizabeth Rushing, analyste du Mali à l'IDMC
« L’intervention militaire n’a pas soigné tous les maux, des menaces invisibles sont toujours présentes avec des rapports de tensions ethniques et la peur que les militants islamistes se soient regroupés dans les montagnes où ils pourraient planifier d’autres attaques et attentats-suicide dans le nord, où la présence de l’État est toujours faible »
Elizabeth Rushing, analyste du Mali à l'IDMC
« Les PDIs ne peuvent pas rester où elles sont à cause de l’insécurité latente causée par le conflit. Mais leurs maigres ressources et les moyens d’assistance limités du gouvernement et des acteurs humanitaires ne leur laissent que peu de possibilités, »
Sebastián Albuja, Directeur du bureau Afrique-Amériques à IDMC
« Les PDIs au Mali sont prises entre deux feux »
Sebastián Albuja, Directeur du bureau Afrique-Amériques à IDMC
« La Convention de Kampala est exhaustive en ce sens qu’elle prend en compte ces différentes causes de déplacements; elle constitue donc une étape capitale en vue d’apporter une réponse à la situation désespérée de millions d’Africains déracinés de leurs foyers. »
Kim Mancini, formatrice et directrice juridique à l’Observatoire des Situations de Déplacement Interne (IDMC)
: « La Convention met clairement les États face à leurs responsabilités et offre aux personnes déplacées interne un instrument pour se prévaloir de leurs droits et constitue, de ce fait, une réalisation exceptionnelle dont nous espérons qu’elle saura inspirer les autres responsables dans le monde. »
Sebastían Albuja, responsable du département Afrique à l’Observatoire des Situations de Déplacement Interne (IDMC)
The reality is that right now, people are forced to flee their homes for a whole host of causes, from natural disasters such as floods and droughts, forced evictions because of development projects such as dam building or logging projects, as well as war, conflict and violence
Kim Mancini, Senior Training and Legal Officer, IDMC
’The countries who have not yet adopted the convention must do so, as a legal framework is the very basis of ensuring the rights and well-being of people forced to flee inside their home country
Sebastían Albuja, Head of the Africa Department, IDMC
La Convention de Kampala est exhaustive en ce sens qu’elle prend en compte ces différentes causes de déplacements; elle constitue donc une étape capitale en vue d’apporter une réponse à la situation désespérée de millions d’Africains déracinés de leurs foyers.
Kim Mancini, formatrice et directrice juridique à l’Observatoire des Situations de Déplacement Interne (IDMC)
« La Convention met clairement les États face à leurs responsabilités et offre aux personnes déplacées interne un instrument pour se prévaloir de leurs droits et constitue, de ce fait, une réalisation exceptionnelle dont nous espérons qu’elle saura inspirer les autres responsables dans le monde.
Sebastían Albuja, responsable du département Afrique à l’Observatoire des Situations de Déplacement Interne (IDMC)
La peur et les méfiances entre les communautés ont mis le feu aux poudres à des tensions existantes, particulièrement dans l’ouest du pays où 240,000 personnes ont été forcées de fuir pour cette seule année.
Elizabeth Rushing, analyste pour l’Afrique de l’ouest à l’Observatoire des personnes déplacées